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Punir la fuite et l’insubordination
Joe, entre la fuite et la prison
Recherchés par les autorités, susceptibles d’être dénoncés par tout un chacun, les fugitifs étaient bien souvent ramenés à leurs propriétaires et punis pour leur désobéissance.
Les sources juridiques témoignant de ces pratiques au Bas-Canada présentent des châtiments corporels comme le fouet et des peines d’emprisonnement.
Châtiments corporels et peine de mort
Le recours aux châtiments corporels et à la peine de mort étaient courants à l’époque dans l’administration de la justice coloniale, et pas uniquement envers des esclaves.
Des châtiments corporels comme le fouet ne pourraient plus avoir lieu de nos jours au Québec. Les doits de la personne protègent toute personne contre la torture et les traitements cruels et inusités, incluant la peine de mort
Droit à un procès juste et équitable
Toute personne a aussi droit à un procès juste et équitable, à des conditions de détention respectueuses de sa condition personnelle et à la peine la moins dure pour ses actes.
Ce sont des mesures qui garantissent le droit au respect de la dignité humaine.